• Zaya la furette !

        Cette chose c'est un furet ! C'est une femelle et elle s'appelle Zaya.

        Jean-Fred voulait un furet comme animal de compagnie, je me suis donc
    que c'était une bonne idée pour noël.
    J'ai donc occupé tout mon temps à chercher sur le net des renseignements, sur ce que ça mangeait, comment ça s'élevait, combien ça coûtait, dans quoi ça dormait, quelle taille ça faisait... Bref tout !
        Puis j'ai écumé les petites annonces de cages et de furet dans le coin de la Bretagne.
    Pour la cage on a finalement adopté une cage que j'avais construits pour mes rats hélas morts.
        Pour le furet c'était plus dur parce que ce n'était pas trop la période pour les bébés, et ça coûte super cher.
        Finalement on a trouvé un gars sur Rennes qui en vendait 2 à un prix très abordable, il y avait un mâle et une femelle.

        Enfin, on a pu trouvé un weekend où on pouvait bouger (le 8 décembre 2007) et on est allait voir les fufus. Après beaucoup d'hésitation on a tout de même choisis la femelle (en sachant qu'il fallait la stériliser pour sa santé).

        Les premier jours la fille était toute calme. Puis elle a commencé à faire la folle avec un peu tout et à exprimer sa joie par ses petits cris "pout pout pout pout pout".

        Maintenant elle fou bien le bordel, connaît par coeur le salon, et connaît bien son monde. Avec Jean-Fred elle est câline et elle rigole tout le temps, avec moi elle mord ou est indifférente. Sale bête.

        J'ai plein de photos d'elle mais ne peut pas faire d'album photo sur ce blog, dommage.

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  • Voici le clip de la chanson de Rose dont je parle dans le dernier article. Vous pouvez voir que j'ai repris pas mal de choses.

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  • J'aime ...

    Il y a une chanteuse, Rose, que j'ai pu voir en concert (très bien d'ailleurs), qui a fait une chanson où elle cite toutes les choses qu'elle veut faire avec son amoureux. J'adore l'idée, alors je vais la reprendre.
    Par contre pourquoi s'arrêter à ce que je veux faire avec Jean-Fred ? J'ai juste eu envie de mettre en vrac tout ce que j'aime et veux faire.

    Aller à des concert, repeindre toute la maison, mettre un décolleté, pleurer pour un rien, adopter un chien, faire semblant d'avoir mal et mettre les voiles.
    Jeter tout par les fenêtres, t'aimer de tout mon être et te prendre en photo.
    Te faire mourir de rire, aspirer tes soupirs, écrire des mots d'amour, pleurer sur un trottoir, me serrer sur ton coeur, pardonner tes erreurs, jouer de la guitare, avoir un bébé et apprendre à danser.

    T'embrasser partout, s'aimer quand on est saouls, éveiller tes soupçons, te demander pardon
    Et te traiter de con.
    Avoir un peu de spleen, écouter la radio, te regarder dormir, faire du vélo à deux, se dire qu'on est heureux, emmerder les envieux.

    Faire la fête toute la nuit, m'habiller en hipi, visiter des pays, et construire un tipi. Fabriquer mes vêtements, apprendre à faire du ski, aller dans des resto, se baigner toute nue, connaître tout les arbres, guérir avec des herbes, sourire aux inconnus.

    Je m'arrête là dans cette liste non exhaustive.

    J'aime vivre tout simplement et j'aimerais pouvoir cueillir tout ce que m'offre la vie.

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  •     Pas grand chose à dire, il pleut, Jean-Fred m'énerve, ça devient une habitude, j'ai l'impression d'être une personne sans intérêt, alors pourquoi écrire un blog ???

        Faudra vous parler du furet (qui me saoul), de mes tableau (au moins du dernier qui est en cours), des fées, du mon rêve de restaurant, de notre projet Quebec, de mes amis. Bref, que des choses sans grand intérêt.

    Sur ce, si vous passez par là, laisser un petit commentaire pour dire que vous me lisez (avec plaisir).

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  • Parfois la vie nous offre des moments de bonheur, chacun les siens.

        Un sourire, un regard, une parole, donnés gratuitement, au coin d'une rue, d'un bar, et tout devient ensoleillé.
        Parfois c'est un mec qui va te dire que tu es très mignonne, parfois c'est un mendiant qui veut discuter, d'autre fois c'est quelqu'un qui cherche son chemin, qui veut l'heure, du feu.
        Ces petits moments à l'écart de la vie quotidienne, aussi différents et uniques soit-ils, m'offrent le rêve que notre société de timide change.

        Brassens le dit à sa façon dans cette chanson qu'il a composé à partir d'un poème d'Antoine Pol.

        Moi je ne trouve pas les mots pour exprimer ce que je ressens quand un contact s'établit, naturellement et sans enjeux.

        Le monde où l'on vit nous offre de moins en moins ces "extravagances", chacun pour soi, tout le monde seul. Je hais penser ça, j'aime croire que y'aura toujours quelqu'un qui voudra me parler quand je suis seule.

        C'est fou de ce qu'il y a sur mon coeur que je n'arrive pas à mettre dans des mots.

        J'aime ces rencontres ordinaires de parfais inconnus, j'aime ce contact fragile. Et parfois au font de mois, je retrouve leurs souvenirs, comme des amis lointain.

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